mercredi 24 juillet 2013

40 ans de MAIF , ça se fête non?



40 ans de MAIF !!!! CA SE FÊTE NON ?



Notre Président Roger BELOT est né en 1946, il est devenu Militant dans les Deux-Sèvres en 1973, puis Président en 1996  … et il a cette année, 40 ans de militantisme !! Et ce juste un an avant son départ à la retraite MAIF (à l’A.G. de  2014 qui se déroulera à NIORT, en même temps que les 80 ans d’existence de la M.A.I.F.).

L’UNSA-MAIF vous remercie Monsieur le Président d’avoir œuvré à l’usage de la Mutualité depuis 1973 avec une implication sans compter pour le service de la M.A.I.F.

Permettez que nous vous interpellions à cette occasion, au sujet des nombreux Collègues qui ont, comme vous, une carrière de 40 ans au service de la Mutuelle.

Il serait pertinent nous semble t’il de reconnaître l' implication et le dévouement à travers l’octroi de quelques jours de congés, pour l’anniversaire des salariés qui se sont dévoués corps et âmes, pendant 40 ans, à travers les mêmes  idéaux mutualistes que les vôtres.

L’UNSA-MAIF  réitère par conséquent sa demande d’octroi de  congés supplémentaires à l’occasion des 40 ans de travail, pour les salariés qui se sont investis aussi durablement, aussi fidèlement pour notre Mutuelle et qui ont su l’élever parmi les plus grands assureurs,  dans un monde concurrentiel toujours de plus en plus difficile à affronter.


Vous saurez nous n’en doutons pas être à l’écoute de cette demande justifiée et nous vous laissons le soin d’apprécier la mesure de cette reconnaissance nécessaire !!!




lundi 1 juillet 2013

Le changements et les salariés MAIF, les enseignements de l'enquête réalisée par l'UNSA-MAIF

A l’aide d’une enquête anonyme l’UNSA-MAIF a tenté de mieux comprendre, comment vous, salariés, acceptiez les changements que connaît notre Mutuelle à travers les divers projets actuels de réorganisation.




Vous avez été nombreux à nous répondre et nous tenons à vous remercier pour votre participation, gage de l’intérêt que vous portez à notre Mutuelle et à notre action.

Notre enquête contenait des énoncés relatifs aux préoccupations suivantes :
-          Préoccupations relatives aux résultats que le changement organisationnel peut avoir sur le travail des salariés, sur les nouvelles tâches, les nouvelles responsabilités, l’augmentation de la charge de travail.
-          Préoccupations relatives à la capacité des individus à faire face et s’adapter aux changements.
-          Préoccupations relatives au soutien des supérieurs ou des collègues.
-          La capacité de l’entreprise à faire face au changement
      -          L’absence éventuelle de préoccupations

L’analyse de vos réponses  nous a permis le constat suivant :

1/ l’émergence des préoccupations :


Des préoccupations en lien avec l’âge et l’ancienneté !

Les préoccupations des salariés les plus âgés sont significativement plus orientées sur leur capacité à supporter le changement, à se l'approprier et au soutien qu'ils peuvent recevoir pour justement les aider à y faire face. A contrario, plus le salarié est jeune, moins il remet en cause sa capacité d'adaptation, sa possibilité à intégrer le changement. Quant aux préoccupations sur le soutien qu'il peut recevoir, elles sont, de toute évidence, non significatives.

Les salariés sont inquiets des changements à venir !

Force est de constater que la préoccupation sur la capacité de l’entreprise à faire face au changement et à en tirer de réels bénéfices est importante !!


2/ Comportement de résistance et accompagnement du salarié

Paradoxalement, l’émergence de préoccupations n’entraîne pas de comportements de résistances actifs ou passifs de la part des salariés !

De façon générale, les salariés de notre mutuelle font preuve de fatalisme et témoignent d’une absence de solidarité face aux changements.

3/ Une culture d’entreprise et un sentiment d’appartenance mis à mal

Les salariés ne se sentent pas suffisamment accompagnés face au changement, ce qui entraîne une baisse notable de la confiance dans l’entreprise !
                       
En conclusion, même s'il n'y a pas de comportements de résistances majeurs au sein de notre entreprise, il s'avère  que la présence de préoccupations pourrait en déclencher si aucun soutien supplémentaire de la part de l'organisation n'est mis en place pour l'accompagnement des salariés afin qu'il puisse s'approprier le changement (formation communication, information, gestion des compétences...).
Cette faiblesse dans l’accompagnement est en relation directe avec le sentiment d'appartenance à l'entreprise mais aussi avec les comportements de résistances que les salariés pourraient entreprendre à l'égard du changement.


L’UNSA-MAIF alerte notre Direction et demande à ce que l’accompagnement, de nos collègues impactés par les différentes réorganisations en cours dans l’entreprise, soit accru et personnalisé à chaque situation ! L’industrialisation de notre travail, l’individualisation et l’uniformisation des pratiques ont leurs limites !!