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lundi 22 janvier 2018

Compte-rendu du comité d'entreprise du 16 janvier 2017

Compte-rendu du comité d'entreprise du
16 janvier 2017
Compte-rendu non officiel

1. Point Réseau Conseil Vente - Bilan 2017 

L'accueil téléphonique atteint 75,3% (soit +0,3% / objectif), ce qui est très positif pour les collègues de cette filière car la Direction, lors d'un précédent CE, prévoyait que l'objectif ne soit pas atteint. Le volume d’instances en fin d'année est quant à lui inférieur de 20 000 (2016).

La production commerciale : 
  • Recrutement : Très bonne fin d’année qui permet d’être au plus proche de l’objectif annuel
  • IARD : Production bien au-dessus des objectifs sur l’ensemble des produits (VAM, RAQVM, PACS et PRAXIS)
  • Épargne et Prévoyance : Les objectifs de fin d’année en Épargne (volume) Livrets et Rassurcap ne sont pas atteints malgré une meilleure dynamique sur l’Épargne en fin d'année.
  • Collecte : Une forte progression sur Rassurcap et Assurance Vie
2. L’activité des CVD : perspectives 2018 / 2019

SITUATION DU CATS DE PARIS : 
La Direction nous confirme le regroupement définitif du CATS et du CCS de Paris, comme cela a déjà été évoqué lors de la réunion du CE de novembre 2016 (voir ici).
Les raisons : un recrutement compliqué et chronophage, un turn-over à destination de toutes les autres filières dans l’IDF, et un absentéisme récurrent et supérieur à celui constaté dans les autres régions.
Il a donc été décidé de stopper les recrutements en CATS et d'encourager et accompagner toutes les mobilités souhaitées au départ du CATS de Paris. L'ambition de la MAIF à terme est de transformer ce site en CCS.

LYON :
Une éventuelle opportunité immobilière permet d’envisager de rapprocher le CATS et le CCS sur le site de l’actuel CCS. Le déménagement de l’actuel occupant des lieux étant anticipé pour fin 2018. Cependant, la projection éventuelle de la Maif serait de transformer la fusion de ces deux sites en CATS, contrairement à Paris.

Pour L'Unsa-Maif, nous avons toujours été défavorable à l'externalisation de notre cœur de métier et c'est donc avec une grande satisfaction que nous accueillons cette nouvelle, permettant d'une part d'augmenter les embauches et d'autre part de faire perdurer le modèle CATS.

3. Information sur les mesures d’accompagnement de la mobilité volontaire des salariés

Les élus s'étonnent que ces mesures ne soit pas négociées avec les partenaires sociaux. La Direction nous répond d'une part, qu'elle a souhaité créer cette note en accord avec l'actualité à l'ordre du jour (point précédent) et d'autre part, que les éléments sont susceptibles d'évoluer, d'où la volonté de ne pas le figer pour l'instant dans un accord d'entreprise.

Le document étant noté comme confidentiel, nous ne le détaillerons pas. Cependant, l'Unsa-Maif fait part de son regret qu'absolument aucune mesure sur l'aspect familial ne soit prévue. La Direction indique que si certains éléments n'apparaissent pas, c'est que les demandes ne sont pas prioritaires. Au vu de notre insistance, il nous est précisé qu'un débat sur la famille a bien eu lieu lors de la création de ce document et qu'il est donc susceptible d'évoluer à ce niveau, ce que nous encourageons fortement, d'où la pertinence de négocier ces mesures avec les organisations syndicales.

4. Recueil de l’avis de l’instance sur le projet d’évolution de l’activité Approvisionnement (2e réunion)

Synthèse de la déclaration des élus du CE :
L’objectif poursuivi par ce projet est d’améliorer la performance de l’entreprise, d’accroître la qualité de service rendu et de professionnaliser l’activité d’approvisionneur. Pourtant, l’entreprise a poursuivi un objectif principal : celui de dégager des gains de productivité, à travers le regroupement des acteurs de la fonction achat dans trois structures et leur spécialisation. Pour preuve, les effectifs ont été dimensionnés pour répondre au seul critère de volume de commandes, alors que l’usage d’un nouvel outil impose un temps de formation et d’appropriation.

Pour les élus, opérer une telle transformation et répondre aux nouvelles contraintes nécessite pour l’entreprise de concilier performance économique et humaine afin d’atteindre un fonctionnement optimum favorisant le bien-être des collaborateurs, leur motivation, et donc le développement de l’activité, l’atteinte des résultats ; en résumé, la performance globale.
Les élus souhaitent rappeler à la Direction ses obligations en termes de moyens concernant notamment une formation des salariés appropriée, des outils opérationnels et adaptés à leur activité suivant un planning bien anticipé et ne peuvent que regretter que notre mutuelle passe à côté de l’occasion d’expérimenter la mise en œuvre de la vision stratégique insufflée par notre directeur général, Pascal Demurger.

Les élus Unsa-Maif émettent un avis d'abstention.

5. Point de suivi sur le projet ESE

Plusieurs actions destinées à améliorer la prise en main telles que la désignation de référents dans certains services chargés de recenser les difficultés, la formation de l'assistance bureautique avec la création d'une ligne téléphonique dédiée, la mise en place d’un support de proximité pour accompagner les utilisateurs finaux au démarrage, un mécanisme de transfert de compétences sera mis en place pour accompagner les ressources PAGE intégrées dans l’équipe support, etc.

Par ailleurs, la Direction nous informe que toutes les demandes d'évolutions remontées par les utilisateurs sont recensées et traitées en fonction des priorités. Les échanges avec les utilisateurs et les rencontres avec les directions se poursuivront jusqu'à extinction des difficultés qu'engendre l'outil.

6. Point d’information sur le projet coach de vie

Coach de vie est une plateforme pour des prospects ou des sociétaires et leur entourage souhaitant alléger le quotidien pour gagner du temps. Elle mettra à leur disposition via un bilan personnalisé, une offre de services adaptée à leurs besoins. Et ce, via un guichet unique dans une logique omni-canal et multi-filières avec une fluidité pour le parcours utilisateurs.

Les services proposés sont variés tels que la livraison à domicile (fleurs, repas, etc.), coiffure, esthétisme, entretien de la maison, assistance informatique, coaching sportif, etc. Les services sont destinés à évoluer en fonction des besoins des sociétaires mais également de la capacité aux prestataires de pouvoir se connecter informatiquement aux outils Maif.

La plateforme de service : 
Coach de Vie est le deuxième projet construit sur cette plateforme après "Déménagement". L’un des enjeux est d'y construire des fonctionnalités telles que l'authentification, le paiement, les liens avec les prestataires, etc.

L'incubateur : 
C'est un plateau basé dans la région nantaise destiné à accueillir des conseillers en détachement dont les missions principales seront de proposer Coach de vie (notamment en complément d'une prise en charge sinistre), réaliser le diagnostic humain et assurer le support téléphonique tout au long du parcours.

7. Point d’information sur le projet d’offre multirisque professionnelle (MRP)

Dans le cadre de la « dissociation des univers », la nouvelle offre habitation AHA ne couvre plus de garanties RC/DB professionnelles comme RAQVAM. La Maif a donc décidé de construction une offre MRP 100 % Maif.
L’offre s’adressera aux travailleurs indépendants. Certaines familles métiers seront éligibles tels que le sport, l'artisanat, le social... tandis que d'autres seront exclus lors du lancement (BTP, restauration, etc.). Tous les métiers prévus dans RAQ1 et NOR ne sont pas couverts mais le produit est destiné à évoluer pour ne pas que le sociétaire ne s'assure ailleurs.

Environ 15 conseillers seront formés sur les CCS de Clermont-Ferrand et Grenoble pour la partie distribution et 5 à 6 conseillers au CGG de Toulouse pour la partie sinistre. La gestion informatique s'effectuera sur un module expérimental mais, à terme, elle migrera sur le SI global.
Le business plan et la tarification seront établis en février pour une commercialisation en mars 2018.

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lundi 4 décembre 2017

Compte-rendu du comité d'entreprise du 22 novembre 2017

Compte-rendu du comité d'entreprise du 22 novembre 2017
Compte-rendu non officiel

1. Information sur le projet "incubateur de services" 

La direction nous présente un projet qui sera déployé d’ici mars 2018. Ce projet dit "incubateur"  a pour but de nous mettre en capacité de tester et mettre en production nos offres et services de demain, en co-construction avec nos sociétaires et les conseillers.

2. Présentation du premier rapport Sextant sur la transformation digitale

Le cabinet d'expertise Sextant nous présente dans ce rapport une étude sur la transformation digitale de la Maif, impliquant de nouvelles orientations stratégiques dues à un marché en évolution continue.
Les trois grands piliers des stratégies digitales des compagnies d’assurances sont l'optimisation de l'expérience client, le gain de productivité et la diversification via des nouvelles technologies telles que l'intelligence artificielle ou le big data.
La Maif s'appuiera notamment sur son système de valeur pour se différencier et créer un nouveau écosystème.

Le rapport souligne que les évolutions de métiers et les nouvelles conditions de travail seront à accompagner, mais la charge de travail devra également être régulée dans un contexte où l'accès au numérique est ininterrompue.

Romain Liberge, chief digital officer de la Maif, intervient suite à ce rapport pour préciser les intentions de la Direction dans ce domaine :

"Le focus principal de la Maif, c'est accompagner le collaborateur dans ce changement."

Les objectifs :

  • Réussir à bâtir un réseau omnicanal vraiment puissant et notamment le canal internet qui reste encore un peu "pauvre".
  • Proposer des choses simples (attractives et agréables) et pertinentes (pour pouvoir personnaliser et rester fort dans la relation, être attentionné)
  • Ramener toute la relation autour de la confiance.

Les nouvelles technologies servent à ces objectifs. L'idée est de réinstaller un équilibre entre le sociétaire et les organisations et étudier comment cela peut utilement servir les sociétaires.
La conviction de la Direction est qu'on ne peut pas rester dans une relation asymétrique mais qu'il faut redonner de la capacité à l'individu.
Elle souhaite chercher des effets de leviers à travers l'exploitation des données tout en cherchant une transparence vis-à-vis des sociétaires.

Les enjeux du digital pour M. Liberge seraient de gagner le combat de la maîtrise et d'assurer l’employabilité des collaborateurs mais également de couvrir les nouveaux risques et d'anticiper.

Pour l'Unsa-Maif, nous espérons que les moyens mis en œuvre pour accompagner les collaborateurs dans cette révolution numérique seront à la hauteur des objectifs annoncés, et ce, afin de préserver la qualité rendue aux sociétaires, d'améliorer les conditions de travail ainsi que les résultats de l'entreprise.

3. Synthèse de l'avis du Comité d’Entreprise sur les orientations stratégiques de l’entreprise

L’année 2016 a été marquée par une évolution positive du marché en IARD et une amplification de la concurrence de la part des « bancassureurs ».
Selon le rapport de la SACEF, sur la période 2014 à 2016, les résultats dégagés par MAIF et FILIA MAIF correspondent aux projections annoncées. Les résultats financiers sont bons, les fonds propres renforcés et la marge de solvabilité offre encore des opportunités pour investir.

Cette situation confortable devra cependant tenir compte dans l’avenir, de l’évolution de la législation, de la forte concurrence et devra également faire face au développement du numérique et à l’apparition de nouvelles technologies (robots conversationnels et intelligence artificielle) qui nécessiteront d’importants investissements matériels et humains pour ne pas se laisser distancer.

La transformation digitale impactera tous les métiers MAIF et par conséquent les compétences des salariés. Si la volonté de l’entreprise est de demeurer accessible par tous les canaux, les moyens technologiques mais aussi humains devront le permettre.

Pour les élus du Comité d’Entreprise, la plus marquante des évolutions envisagées pour le monde de l’assurance et plus particulièrement à la Maif, sera l’évolution du métier de gestionnaire vers un rôle de « gestionnaire de services ». Mais elle ne sera possible qu’à travers le maintien d’une relation de confiance avec les sociétaires. L’évolution du digital devra être vigilante face à une fracture digitale naissante.
La volonté de participer à la protection des données devra être encore plus marquée dans l’avenir. Elle permettra ainsi de préserver nos valeurs de solidarité, d’appartenance et de respect de notre ADN.

Enfin, l’entreprise met en avant son accord RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises), à savoir être économiquement viable, avoir un impact positif sur la société mais aussi mieux respecter l’environnement.

Si les résultats globaux présentés sont de nature à rassurer les élus, l’absence de visibilité des effectifs pour les années à venir demeure un sujet d’inquiétude pour ces derniers.

4. Synthèse de l'avis du Comité d’Entreprise sur la politique sociale, les conditions de travail et l’emploi

Le rapport remis aux élus du Comité d’Entreprise a permis de mettre en évidence les points suivants :

Les effectifs présents au 31/12/2016 ont augmenté de + 1,66%. Cette hausse s’explique par la diminution des effectifs des CDD et une augmentation du nombre de CDI. Les CDD représentent désormais 3,86% de l’effectif contre 5,06% en 2015. Celle des alternants représente 6,7% de l’effectif (pour rappel le minimum légal est fixé à 6%. 
Les CCS voient leurs effectifs augmenter de 15% alors que ceux des CATS diminuent de 5%. Les effectifs de la filière Sinistre augmentent en CGE et CDS tandis que les CGG voient leur effectif diminuer.
Le pôle Système d’Information compte 12 salariés en moins.
Cette diminution interpelle les élus dans une période où l’entreprise rencontre des pannes récurrentes du SI mais doit aussi l’adapter aux enjeux à venir. 
D'autre part, les élus souhaitent réaffirmer qu'il apparaît indispensable de s’assurer qu’un service après-vente de qualité soit dispensé aux sociétaires aussi bien dans la déclaration que dans la gestion des sinistres.

Le taux de turnover a augmenté. Concernant les sorties, les effectifs CVD et CDS sont les plus impactés. Les élus estiment qu’il faut s’interroger sur le modèle en place et apporter des réponses aux salariés des plateaux téléphoniques sur les conditions d’exercice de leur métier et les perspectives d’évolution dans l’entreprise.

Par ailleurs, compte tenu du retard récurrent constaté dans le traitement des flux froids, il apparaît selon les élus que le recours aux heures supplémentaires même organisé et quantifié à l’avance, ne peut pas être l’unique solution pour répondre aux besoins des sociétaires et à des conditions de travail décentes. 
Les enjeux de demain portés par le Digital sur l’emploi doivent être appréhendés au plus juste pour ne pas créer un déséquilibre entre les ressources et les flux qui s’avéreraient contre-productifs. 

Pour rappel, les heures supplémentaires rémunérées ont augmenté de 27,3% en 2016 par rapport à 2015. Qu’en sera-t-il en 2017 et 2018 ?

La rémunération annuelle brute des salariés a augmenté en moyenne de 2,9% entre 2015/2016 après 3,3% entre 2014/2015. La rémunération moyenne des employés diminuent mais augmentent pour les cadres.
La prime individuelle de participation moyenne a diminué par rapport à 2015. Le nouveau calcul du montant de l’intéressement, dans lequel a été intégrée la prime sociétaire, a engendré une des écarts significatifs selon les filières.
Pour les élus, une telle différence est loin de servir un objectif de fonctionnement collectif.

Dans la structure des effectifsles employés représentent 74,89% de l’effectif quand les cadres représentent 24,75%. La classe 3 représente 53,5% de l’effectif au 31/12/2016, en légère diminution (-0,5 point) suite au passage de 79 salariés de la classe 3 en classe 4 et 29 en classe 5.
Le taux de promotions a augmenté ces deux dernières années.
6,25% de l’effectif homme a bénéficié d’une promotion contre 3,04% pour les femmes qui représentent 71% de l’effectif.
Alors que la négociation « égalité professionnelle » vient de débuter, les élus souhaitent rappeler à la Direction que seules des décisions pérennes et justes pourront faire disparaître les inégalités constatées.

Le taux d’absentéisme global est en baisse (5,86% contre 6,07%). La Filière CVD a un taux d’absentéisme supérieur au général (6,72%).

Les dépenses de formation s’élèvent globalement à 5,44% de la masse salariale (5,58% en 2015). Le nombre d’heures de formation est en hausse car le nombre de salariés en formation est en augmentation de +19%. Le nombre moyen d’heures de formation par salarié continue de diminuer passant de 40,9 heures en 2014 à 33,4 heures en 2015 et en 2016 à 28,2 heures.
Cette baisse, si elle est due à l’usage généralisé des E-learning et outils tels que les COOC, MOOC, mais aussi à la régionalisation des formations, interpelle tout de même les élus. Ils tiennent à rappeler que les formations techniques restent indispensables afin de proposer un service de qualité à nos sociétaires, dans un contexte d’évolutions législatives permanentes.
Alors que la révolution numérique annoncée est bien en marche, les élus espèrent être rassurés sur les moyens qui seront mis en œuvres par la MAIF dans ce domaine.

Enfin, le comité d'entreprise appelle la Direction à être vigilant 2 : 
- L’augmentation du nombre d’accidents du travail hors siège passant de 12 à 44 ;
- La baisse des effectifs formés à la sécurité dans l’année passant de 1560 en 2013 à 715 en 2016 avec un budget en baisse de - 11,5% entre 2015 et 2016.


4. Présentation du premier rapport Sextant sur la transformation digitale

Le cabinet d'expertise Sextant nous présente dans ce rapport une étude sur la transformation digitale de la Maif, impliquant de nouvelles orientations stratégiques dues à un marché en évolution continue.
Les trois grands piliers des stratégies digitales des compagnies d’assurances sont l'optimisation de l'expérience client, le gain de productivité et la diversification via des nouvelles technologies telles que l'intelligence artificielle ou le big data.
La Maif s'appuiera notamment sur son système de valeur pour se différencier et créer un nouveau écosystème.

Le rapport souligne que les évolutions de métiers et les nouvelles conditions de travail seront à accompagner, mais la charge de travail devra également être régulée dans un contexte où l'accès au numérique est ininterrompue.

Romain Liberge, chief digital officer de la Maif, intervient suite à ce rapport pour préciser les intentions de la Direction dans ce domaine :

"Le focus principal de la Maif, c'est accompagner le collaborateur dans ce changement."

Les objectifs :

  • Réussir à bâtir un réseau omnicanal vraiment puissant et notamment le canal internet qui reste encore un peu "pauvre".
  • Proposer des choses simples (attractives et agréables) et pertinentes (pour pouvoir personnaliser et rester fort dans la relation, être attentionné)
  • Ramener toute la relation autour de la confiance.
Les nouvelles technologies servent à ces objectifs. L'idée est de réinstaller un équilibre entre le sociétaire et les organisations et étudier comment cela peut utilement servir les sociétaires.
La conviction de la Direction est qu'on ne peut pas rester dans une relation asymétrique mais qu'il faut redonner de la capacité à l'individu.
Elle souhaite chercher des effets de leviers à travers l'exploitation des données tout en cherchant une transparence vis-à-vis des sociétaires.

Les enjeux du digital pour M. Liberge seraient de gagner le combat de la maîtrise et d'assurer l’employabilité des collaborateurs mais également de couvrir les nouveaux risques et d'anticiper.

Pour l'Unsa-Maif, nous espérons que les moyens mis en œuvre pour accompagner les collaborateurs dans cette révolution numérique seront à la hauteur des objectifs annoncés, et ce, afin de préserver la qualité rendue aux sociétaires, d'améliorer les conditions de travail ainsi que les résultats de l'entreprise. 

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