Compte rendu non officiel
En préambule, l'ensemble des représentants syndicaux considère que la mobilisation requise pour effectuer des heures supplémentaires n'est pas justifiée.
En effet, il apparaît que le niveau d'instances en retard, tant sur le secteur contrat que sinistre, relève d'une problématique structurelle et non conjoncturelle ! SDO et les décisions organisationnelles de l'entreprise en sont la cause alors que la Direction nous confirme que cela est lié aux jours fériés du mois de mai, aux intempéries et au projet OSER.
Par ailleurs, nous alertons la Direction sur la dégradation de la qualité rendue au sociétaire due à la pression mise sur les salariés quant à leurs objectifs personnels.En effet, il apparaît que le niveau d'instances en retard, tant sur le secteur contrat que sinistre, relève d'une problématique structurelle et non conjoncturelle ! SDO et les décisions organisationnelles de l'entreprise en sont la cause alors que la Direction nous confirme que cela est lié aux jours fériés du mois de mai, aux intempéries et au projet OSER.
1. Poursuite des Négociations Annuelles Obligatoires 2017 incluant la rémunération des salariés de Guadeloupe, Martinique et Réunion : recueil des revendications.
Estimation en pourcentage de la masse salariale par la Direction des revendication des OS : CFDT : 4.6 / CFE-CGC : 2.7 / CGT : 23 / CAT-MAIF / 2.8 / FO : 6.8 / UNSA 2.8.
Propositions de la Direction :
Retraite progressive et CET :
Suite à notre interrogation, la Direction précise que le dispositif de l'accord collectif permet d'y intégrer ce sujet mais elle nous garantie que cela n'aura pas d'impact sur le budget consacré à la NAO.
La rémunération et ses accessoires :
1. Augmentation générale : 0,45 % ;
2. Abondement sur versement volontaire : abondement de 375 € maximum pour 300 € versés ;
3. Abondement CET - Perco : à hauteur de 75 % dans la limite de 10 jours ;
4. Égalité professionnelle : enveloppe de 180 000 € ;
5. Prime exceptionnelle en supplément d'intéressement : 380 € net ;
6. PAL : revalorisation de l'ensemble des montants de 3 % ;
7. Monétisation CET : intégrer 100 % CET ;
8. Clause de sauvegarde : 2 % (idem l'année dernière).
La Direction considère qu'il faut se féliciter en avançant l'argument que l'on est au-dessus du salaire médian de la branche assurances et précise que l'augmentation générale des salaires, combinée à la prime exceptionnelle, dépasse l'inflation prévisionnel de 0,6 %.
Nous constatons au contraire qu'eu égard à la forte mobilisation des salariés face aux différents changements et projets d'entreprise, ces derniers ne sont pas récompensés en juste proportion. Par conséquent, nous demandons que l'enveloppe de la prime exceptionnelle de 7 millions d'euros de l'année dernière soit réévaluée de 600 000 € afin que nos collègues perçoivent un supplément d'intéressement légèrement supérieur à celui de l'année dernière qui était de 1000 € net.
2. Ouverture des négociations relatives à l’intéressement
La Direction fait un état des lieux des conditions de l'accord précédent (2016) et rappelle le plafonnement de cette prime à 2100 € brut si tous les objectifs sont atteints.
Une répartition individuelle de l’intéressement est effectuée à 100 % en fonction du temps de présence des salariés.
A&C :1575 € (75 %)
CDS : 1706,25 € (81,25 %)
CGG : 1968,75 € (93,75 %)
CGE : 2100 € (100 %)
CVD : 1995 € (95 %)
FAF : 1680 € (80 %)
Siège : 1855 € (88,3 % moyenne pondérée des chiffres du réseau)
Pour l'Unsa-Maif, nous déplorons une incohérence sur la prime du siège qui va être vécue comme une iniquité par les collègues du réseau puisqu'elle se base sur leurs résultats.
La prochaine réunion aura lieu le mardi 7 Mars avec le même ordre du jour.
- Consommation du CET avant ou à la fin de la retraite progressive ;
- Paiement du CET avant la retraite progressive ou consommation du CET de façon régulière pendant le dispositif (un jour par semaine).
Suite à notre interrogation, la Direction précise que le dispositif de l'accord collectif permet d'y intégrer ce sujet mais elle nous garantie que cela n'aura pas d'impact sur le budget consacré à la NAO.
La rémunération et ses accessoires :
1. Augmentation générale : 0,45 % ;
2. Abondement sur versement volontaire : abondement de 375 € maximum pour 300 € versés ;
3. Abondement CET - Perco : à hauteur de 75 % dans la limite de 10 jours ;
4. Égalité professionnelle : enveloppe de 180 000 € ;
5. Prime exceptionnelle en supplément d'intéressement : 380 € net ;
6. PAL : revalorisation de l'ensemble des montants de 3 % ;
7. Monétisation CET : intégrer 100 % CET ;
8. Clause de sauvegarde : 2 % (idem l'année dernière).
La Direction considère qu'il faut se féliciter en avançant l'argument que l'on est au-dessus du salaire médian de la branche assurances et précise que l'augmentation générale des salaires, combinée à la prime exceptionnelle, dépasse l'inflation prévisionnel de 0,6 %.
Nous constatons au contraire qu'eu égard à la forte mobilisation des salariés face aux différents changements et projets d'entreprise, ces derniers ne sont pas récompensés en juste proportion. Par conséquent, nous demandons que l'enveloppe de la prime exceptionnelle de 7 millions d'euros de l'année dernière soit réévaluée de 600 000 € afin que nos collègues perçoivent un supplément d'intéressement légèrement supérieur à celui de l'année dernière qui était de 1000 € net.
2. Ouverture des négociations relatives à l’intéressement
La Direction fait un état des lieux des conditions de l'accord précédent (2016) et rappelle le plafonnement de cette prime à 2100 € brut si tous les objectifs sont atteints.
Une répartition individuelle de l’intéressement est effectuée à 100 % en fonction du temps de présence des salariés.
- Réseau : 25 % sur des indicateurs communs aux 6 filières et 75 % sur les indicateurs par filière
- Siège : 100 % sur la moyenne pondérée des 6 filières réseaux
A&C :1575 € (75 %)
CDS : 1706,25 € (81,25 %)
CGG : 1968,75 € (93,75 %)
CGE : 2100 € (100 %)
CVD : 1995 € (95 %)
FAF : 1680 € (80 %)
Siège : 1855 € (88,3 % moyenne pondérée des chiffres du réseau)
Pour l'Unsa-Maif, nous déplorons une incohérence sur la prime du siège qui va être vécue comme une iniquité par les collègues du réseau puisqu'elle se base sur leurs résultats.
- Nous réaffirmons notre revendication que l'unité siège doit disposer de ses propres indicateurs ! À défaut de réponse positive de la Direction, nous demanderons à ce que la moyenne des intéressements versés pour chaque unité de travail (7), et donc celle attribuée au siège, devienne le minimum garanti pour chaque unité.
- Nous souhaitons que le plafonnement de la prime soit supprimé.
- Nous relançons de nouveau la Direction sur la proposition d'inclure un échelon intermédiaire à 75 % (entre le plancher et 100 %), ce qui permettrait aux collègues de prétendre à une prime qui "colleraient" plus à la réalité de leur travail.
- Par ailleurs, nous demandons la possibilité d'affecter cette prime sur le CET.
La prochaine réunion aura lieu le mardi 7 Mars avec le même ordre du jour.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire