jeudi 15 mars 2018

Elections pour les Administrateurs Salariés 2018



CHERS COLLÈGUES, VOUS DEVEZ CHOISIR VOS REPRÉSENTANTS AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA MAIF



EXTRAIT DU TEXTE DE LOI RELATIF AU CONSEIL D’ADMINISTRATION
Le conseil d’administration prend toutes les décisions utiles à l’administration et au développement de l’entreprise. Il décide des orientations stratégiques en concertation avec la direction générale et s’assure de leur mise en oeuvre. Il fixe notamment la tarification, décide de l’admission des sociétaires, nomme le directeur général et fixe sa rémunération... Le conseil d’administration de la MAIF est composé des 21 représentants élus par l’assemblée générale et de 3 représentants élus par les salariés.

(entreprise.maif.fr)



L'Unsa-Maif a opté résolument et avec conviction pour un syndicalisme de responsabilité, animé par des valeurs républicaines de laïcité, de démocratie, de solidarité, de liberté, d'humanisme et de justice sociale. 
Nos motivations n'ont pas changé depuis les dernières élections de 2015 :
« NOTRE PROJET, C’EST VOUS ! »


Depuis le décret du 7 mai 2015, et les exigences de Solvabilité 2, le groupe Maif a identifié ses dirigeants effectifs, les « deux paires d’yeux », au travers de notre Président Dominique MAHÉ et de notre Directeur Général, Pascal DEMURGER.

Cette adaptation des statuts de notre Mutuelle aux obligations légales et réglementaires n'est pas sans conséquence sur la gouvernance historique de notre Entreprise. En effet, la gouvernance politique de notre mutuelle par un PDG concentrant tous les pouvoirs a pris fin. Désormais, la partie « technique » prend une place de plus en plus importante. La preuve en est au regard de la place de plus en plus prégnante des prises de paroles et interventions dans la presse et les réseaux sociaux de notre Directeur Général.

C'est pourquoi, l’Unsa-Maif revendique une gouvernance d’entreprise plus transparente et explicite pour les salariés.

Nos candidats ont pour objectifs :
→ de valoriser l’image de l’ensemble des salariés auprès de l’entreprise ;
→ de rappeler que tous contribuent à son développement et à sa forte culture ;
→ d’insister sur le respect et la reconnaissance qu’ils méritent.

Pour cela, nos candidats s'engagent :
→ à œuvrer pour faire évoluer et changer certaines positions dogmatiques du CA, comme par exemple leur refus d'accorder des réductions tarifaires aux salariés de notre entreprise ;
→ à communiquer régulièrement auprès de l'ensemble des salariés des comptes-rendus des réunions du CA, pour les sujets non protégés par le sceau de la confidentialité, tout comme le font déjà nos élus CE via notre blog et notre newsletter. À ce jour, très peu de salariés ont connaissance des décisions du CA et de la teneur de ses réunions.

CANDIDATS COLLÈGE CADRE
CANDIDATS
COLLÈGE EMPLOYÉ
Lilian BERTIN
Niort
Responsable de projet DDORS

SUPPLÉANTE
Maryline
CHAUVET-AZULAY

Niort
Responsable de projet DSSA
Olivier DELACROIX
Charleville-Mézières
Conseiller sociétaire
DC 08.10

SUPPLÉANTE
Amandine
BLANCHERIE

Clermont-Ferrand
Conseiller vente à distance CCS
Josiane BINDA
Chauray
Gestionnaire conseil
CGE

SUPPLÉANT
Jonathan
GAZELLE

Clermont-Ferrand
Conseiller vente à distance CCS

jeudi 8 mars 2018

Compte-rendu de la réunion paritaire du 22 février 2018

Compte-rendu de la réunion paritaire du
22 février 2018

Compte-rendu non officiel

Poursuite et fin de la négociation relative à l’avenant à l’accord sur l’intéressement du 19 avril 2017

Nous demandons une revalorisation du plafond de l'intéressent de 3000 € (au lieu de 2500 € actuellement) pour récompenser davantage l'ensemble des équipes.
Nous déplorons l’annonce faite par le Directeur général dans sa dernière communication de vouloir porter ce plafond à 2750 € pour l'année 2019. En effet, cette décision nous semble faible au regard de de l'implication et des efforts fournis par tous les acteurs de la Maif dans la réussite affichée sur 2017.

Depuis la dernière paritaire, les directions métiers ont revu à la baisse certains indicateurs. Certains restent malgré tout élevés selon nous (notamment le taux d'accueil) et ce, car nous ne sommes pas convaincus que les moyens donnés aux salariés soit suffisants à l'atteinte des objectifs.

Dans le détail :

Indicateur transverse
Baisse de l’objectif cible 2018 de 36000 sociétaires en solde net à 29700.
Même si l’objectif a été largement atteint en 2017, les filières souhaitent se donner toutes les chances de réalisation sur 2018 d’un critère qui pèse très fort dans le calcul de l’intéressement, en sachant que :
  • cette année, côté réseaux de distribution, les feux seront mis sur le développement de l’épargne et la prévoyance,
  • côté A&C, les objectifs 2017 concernant le portefeuille n’ont pu être tenus que très tardivement.
Filières FAF/CVD
Taux d’accueil : cible inchangée pour 2018 à 75%.
La Direction a négocié auprès du Conseil d'Administration une stabilisation de cet objectif, alors qu’une demande d’augmentation était envisageable au regard du plan stratégique.

Autres indicateurs (hors objectifs de production) :
Malgré le fait que la Direction affirme avoir entendu nos observations sur une baisse des indicateurs qualité, en particulier du taux d’excellence pour la filière CVD, nous découvrons que cette baisse sera pour le moins résiduelle, à 1% (de 80% à 79%) ce qui va constituer un bond pour la filière de 9%.
Nous craignons que l’ambition de cet indicateur soit surévaluée au regard des moyens mis en œuvre pour y parvenir et le manque de volonté d'inscrire la démarche qualité dans une trajectoire plus progressive.

Volume de production RAQVAM :
Le mode de calcul a été revu, puisqu’avec la nouvelle offre AHA, il y aura un contrat par lieu de risques, d’où un volume multiplié par 2,5 ou 3 suivant les filières par rapport à 2017. La Direction s’engage à revenir vers les partenaires sociaux courant juin, pour faire un point d’étape et corriger si besoin l’indicateur.

Filières Sinistres
Le taux d’excellence attendu pour 2018 est plus fort pour toute les filières sinistres. La Direction justifie sa position par la volonté de continuer à affirmer que notre objectif est de progresser, en cohérence avec le plan stratégique et avec la qualité de service continuellement défendue par la Mutuelle. Dans l’ensemble, quelques indicateurs seront revisités à la marge pour les filières CGG/CGE.
A l’exception du nouvel indicateur de productivité commun avec la filière CGG qui sera abaissé, les autres indicateurs restent inchangés par rapport aux précédentes propositions de la Direction pour la filière CDS.

Nous attirons l’attention sur la pertinence de ces choix. En effet, pour cette filière, les résultats obtenus en 2017 (tous supérieurs aux attendus) deviennent purement et simplement les nouveaux objectifs pour 2018. Le message ainsi envoyé aux équipes risque d’être perçu de façon très négative et être facteur de lassitude et de démotivation. De plus, nous rappelons que ces résultats ont aussi été obtenus grâce à la participation des salariés à plusieurs reprises sur des samedis travaillés en heures supplémentaires.

La Direction se dit cependant confiante, notamment avec le renfort lié à l’embauche d’une vingtaine de conseillers supplémentaires (15 au nouveau CSS de Chauray et 5 sur autres CDS). Elle précise également que les objectifs se sont construits grâce à un pilotage plus fin de l’activité tout au long de l’année, sans dégrader le niveau d’instance.

Filière A&C
Les indicateurs 2018 ont été déterminés avec une certaine modération.
Le taux de fidélisation initial a été revu à la baisse (soit les bases de 2017) pour tenir compte notamment d’un contexte socio-économique plus difficile où nombre d’associations disparaissent.
Dans cette même logique, les objectifs d’adhésions et de chiffre d’affaires RAQVAM/D.O. seront à nouveau réduits par rapport à 2017.


Poursuite et fin des Négociations Annuelles
Obligatoires au titre de l’année 2018

Rappel de l'ensemble de nos revendications : cliquez ici.

Les dernières propositions de la Direction :
  • Augmentation générale de 0,7 % ;
  • Augmentation du plafond d'abondement de 500€ en versement libre ;
  • Prime exceptionnelle de 260 € brut ;
  • En plus de la prise en charge des droits d'accès dans 60 berceaux via le partenaire Babilou : l'accès premium à la plate-forme Youpies qui permet de trouver des solutions de gardes pérennes ou ponctuelles. Cliquer ici pour plus d'informations.
La Direction justifie ces propositions par une préoccupation de maîtrise de l’évolution des frais généraux d’un niveau déjà relativement élevé, sachant que de nouvelles dépenses très importantes sont attendues, en particulier liées à la modernisation de notre système d’informations.

L’UNSA- Maif déplore qu’une fois de plus, les victimes en soient les salariés. Ces arguments sont difficilement entendables car, en bonne gestionnaire qu’est la MAIF, ces dépenses sont très largement provisionnées et pourront en outre s’amortir dans le temps.

L'Unsa-Maif rappelle qu’elle a déjà largement revu à la baisse ses revendications tout en étant juste pour reconnaître la mobilisation des équipes. Malgré tout, celles de la Direction n’ont pas varié. Il ne saurait être question pour nous d’entrer dans une discussion de "marchand de tapis" limitée à obtenir 10 ou 20 € de plus sur la prime. Nos collègues méritent mieux que ça.

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mercredi 21 février 2018

Compte-rendu de la réunion paritaire du 8 février 2018

Compte-rendu de la réunion paritaire du
8 février 2018

Compte-rendu non officiel

Poursuite des Négociations Annuelles Obligatoires au titre de l’année 2018

Rappel de l'ensemble de nos revendications : cliquez ici.
Nous acceptons de diminuer notre demande d'augmentation générale à 1,1% et ce, afin d'être en cohérence avec l'inflation évaluée pour 2018. Concernant la prime de sur-intéressement, nous demandons 1000€ net.

La Direction refuse nos demandes, à l'exception de l'enveloppe budgétaire pour réduction des écarts de rémunération de 200.000€.

Elle a choisi de s'expliquer sur 3 de nos revendications majeurs :
  • Réduction tarifaire de 20% accordée à l'ensemble des salariés sociétaires sur les produits IARD détenus avec un plafond de 500€ : Le refus ne se fait pas au niveau de la Direction mais du Conseil d'Administration. Les militants ne souhaitent pas introduire une différence de traitement entre les salariés et les sociétaires.
  • Prime de fin d'année pérenne à négocier : l'introduction d'une prime pérenne a un effet durable en terme de masse salariale, puisqu'elle se renouvelle chaque année.
  • Supplément d'intéressement de 1000€ : La Direction explique qu'elle ne peut pas pour des raisons fiscales car l'utilisation du sur-intéressement durable pour corriger l'accord d'intéressement pourrait enlever le caractère aléatoire obligatoire de cet accord...
    De plus, elle a décidé d'octroyer une prime en complément du salaire. Le montant discuté serait de 200 € net. En effet, l'entreprise subit cette année une nouvelle taxe impactant les résultats au niveau de la participation et donc elle souhaite compenser la baisse prévisible par salarié.
Les décisions de la Direction : 
  • En l'absence de signature de l'accord : 0,5 % d'augmentation générale en mars 2018 ;
  • Reconduction de l'abondement sur la passerelle CET-PERCO de 75% et  375€ en versement libre ;
  • Crèches : Prise en charge des droits d'entrées par la Maif avec une place prioritaire dans 33 berceaux supplémentaires mais aucune réduction. Il existe 60 berceaux répartis sur toute la France, qui peuvent être ajustés.
L'Unsa-Maif déplore le manque d'effort de la Direction au regard du travail effectué cette année par nos collègues et de leur capacité d'adaptation à tous les changements effectués et à venir dans l'organisation.


Poursuite de la négociation relative à l’avenant à l’accord sur l’intéressement du 19 avril 2017

La Direction nous présente toutes ses propositions d'objectifs par filière, ainsi que pour l'indicateur transverse.

L'Unsa-Maif constate à travers son discours que la Maif souhaite davantage s'inscrire dans une logique de qualité mais pour autant la culture du chiffre est déjà fortement ancrée. Il s'agirait donc d'un changement de culture qui nécessite du temps et des moyens que la Direction ne doit pas négliger. Cependant, les objectifs chiffrés des différents critères de l'accord d'intéressement restent très élevés. Nous souhaitons les renégocier afin de garder une cohérence et de ne pas démotiver les salariés des différentes filières.


Poursuite de la négociation relative au protocole préélectoral pour les élections des administrateurs salariés

D'autres changements ont de nouveau été apportés pour la sécurisation des données informatiques. 

Nous avons constaté que certaines mesures de sécurité liées à l'envoi des codes aux électeurs, à la procédure en cas de perte de mot de passe ou encore à la remise des clés de déchiffrement aux membres du bureau de vote, manquent de précisions qui paraissent primordiales. Malgré notre signature, nous saurons être plus vigilants pour préparer les élections des élus CSE prévues pour novembre 2018.

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jeudi 8 février 2018

Compte-rendu de la réunion paritaire du 31 janvier 2018

Compte-rendu de la réunion paritaire du
31 janvier 2018

Compte-rendu non officiel

Poursuite des Négociations Annuelles Obligatoires au titre de l’année 2018

La Direction a estimé le coût des revendications de chaque organisation syndicale. Pour l'Unsa-Maif, elle correspond à 2,3 % de la masse salariale (hors prime de fin d'année, prime de sur-intéressement, abondement du PEE, plancher de 650 € brut pour les augmentations générales et l'article 83 concernant la sur-complémentaire retraite déjà revendiquée l'an passé).

Rappel de l'ensemble de nos revendications : cliquer ici.

Premières propositions de la DRH :
  • Augmentation générale : + 0,5 % ;
  • Reconduction de l'abondement sur la passerelle CET-PERCO de 75% et  375 € en versement libre ;
  • Reconduction de l'enveloppe sur les écarts de rémunération :
    200 000 €.
Cela représente selon la Direction + 0,9 % de la M.S. (hors AIPI, promotions...).

Nous souhaitons que la Direction prenne des mesures conformes aux courriels récurrents de notre DG sur les bons résultats et les augmentations qui en découlent.


Point MGEN :
Bilan de l’année et discussion sur l’utilisation du fond solidaire des représentants MGEN

Présence d'un responsable grands comptes MGEN et d'un actuaire conseil.

La MAIF souhaite mettre en place un fonds d'action sociale* dédié qui interviendrait après intervention ou non de l'action sociale MGEN-FILIA.
L’action sociale est une aide attribuée en espèces ou en nature à un individu, à sa demande, selon des critères définis par le financeur et sans qu’il y ait une contrepartie financière.

Selon l'actuaire, la mise en place d'une commission pour l'attribution de certaines prestations peut être délicat, surtout en cas de refus.

Mise en place d'un schéma :
1/ Intervention des régimes santé
  • AMO (L'Assurance Maladie Obligatoire)
  • RPP (Le Régime Professionnel de Prévoyance) 
  • Sur-complémentaire FILIA-MGEN
2/ Intervention de l'action sociale MGEN 
Sur demande du salarié Maif et selon les critères définis, l'action sociale MGEN-FILIA peut intervenir et est soumise à :
- la constitution préalable d'un dossier par l'assuré ;
- un examen de la commission action sociale MGEN-FILIA (réunions mensuelles) qui fera un calcul des capacités financières ("reste à vivre").

3/ Intervention de l'action sociale MAIF 
Après l'avis de la commission, le fond de l'action sociale MAIF interviendra pour le financement de tout ou partie du reliquat du reste à charge en cas :
  • d'avis positif de la commission, automatiquement selon les critères à définir ;
  • de reliquat de reste à charge après intervention de la MGEN et de la MAIF, sur demande expresse de l'assuré et après examen du dossier par la commission trimestrielle du fonds d'action sociale ;
  • d'avis négatif de la commission action sociale MGEN-FILIA, sur demande expresse de l'assuré après examen du dossier de la commission trimestrielle de la MAIF.
L'excédent à la fin de l'exercice si le solde est positif :
50% MAIF :
- La moitié en réserve de stabilité, pour lisser des cotisations.
- La moitié pour le fonds d'action sociale MAIF.

50% MGEN :
Les excédents viennent compenser des déficits d'autres compagnies (mutualisation).

La Direction nous présente un tableau sur l'action sociale MGEN-FILIA avec la nature et le montant des interventions et prestations. Globalement, le fonds améliore le taux de prise en charge du reste à charge sachant que d'autres critères peuvent encore être intégrés.


Ouverture de la négociation relative à l’avenant à l’accord sur l’intéressement du 19 avril 2017.

Constat de la Direction :    
- Une faiblesse du réseau en matière d'assurances de personne et prévoyance ;
- Une baisse du taux d'excellence qualité sur la filière CVD ;
- En FAF : une production pondérée non atteinte.

Un geste financier est demandé par plusieurs OS dont l'Unsa-Maif en faveur des CVD et FAF qui n'ont pas démérité. Nous nous interrogeons sur la pertinence de cet accord et sur sa renégociation intégrale. En effet, l'année dernière, nous avons obtenu un nouveau critère (+ 75% de palier supplémentaire) en plus d'un nouveau plafond (2500 euros). Il est donc important selon l'Unsa-Maif que l'accord continue d'être modifié et adapté.

La Direction s'attache quant à elle à l'application loyale du suivi des indicateurs  qui découlerait d'une construction réaliste. Selon elle, les indicateurs corrèlent à la vie des filières car s'ils étaient plus généraux, ils seraient trop "déconnectés" du terrain.
Pour les indicateurs du siège, la Direction estime que le système fonctionne bien car il est motivant.

L'Unsa-Maif rappelle que des tensions inutiles sont présentes entre les collègues de différentes filières suite au mode de calcul de la prime d'intéressement et que nous revendiquons depuis 2 ans, que la moyenne pondérée versée au siège sociale soit le plancher minimum garanti pour tous. En effet, être responsable, c'est aussi savoir remettre en question un modèle qui n'est pas adapté même après l'avoir validé.


Poursuite de la négociation relative au protocole préélectoral pour les élections des administrateurs salariés

La Direction nous remet en amont de la réunion le projet d'accord.
Les OS font part à la Direction de leurs souhaits en terme de sécurisation des votes.
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