mercredi 28 novembre 2012

LE CONSEIL DE SURVEILLANCE DU FCPE MAIF PARTICIPATION s’est réuni vendredi 23/11/2012

  C’est quoi ce CONSEIL DE SURVEILLANCE ?  
campagne_adverbes_Page_2Chaque année vous devez décider si vous souhaitez percevoir les montants relatifs à votre participation et à votre intéressement ou les placer.
En cas de perception, la somme devient alors imposable.
Si vous la placez, elle est alors bloquée et sera disponible, sans imposition, après 5 ans ou déblocage sous certaines conditions avant ce terme (ex : premier achat de la résidence principale).
 
Ses sommes sont placées dans un FCPE (Fonds Commun de Placement d’Entreprise). La gestion du FCPE MAIF PARTICIPATION est confiée à NATIXIS INTEREPARGNE.
Retrouvez toute l’information sur ce placement et sur votre épargne sur :
 
http://www.interepargne.natixis.com
 
Le Conseil de surveillance est donc l’organe composé de représentants des salariés (deux par Organisation Syndicale signataire de l’accord de participation) et de représentants de l’entreprise, chargé de contrôler la gestion du FCPE. Il a notamment pour fonction d’examiner le rapport annuel de gestion, d’exercer les droits attachés aux titres de capital détenus par le Fonds et de donner son accord préalable à toutes modifications du règlement du FCPE. 
 
François et José, y participent pour l’UNSA MAIF. Voici les informations qu’ils nous ont confiées :
 
LES INFORMATIONS TECHNIQUES :
 
Le Fonds commun de placement MAIF PARTICIPATION se veut dynamique mais sécurisé (pas plus de 10 % d’actions en moyenne) avec des placements en Europe. Par ce biais nous obtenons des rendements généralement supérieurs aux livrets A. c’est une façon de contribuer au financement des entreprises et des Etats Européens.
 
Pensez donc à épargner sur le fonds au moins une partie de votre participation ou de votre intéressement ou en faisant des versements directement.
Lors de ces réunions le Gérant du FCPE nous présente un état des lieux de l’activité mondiale, en Europe (zone Euro), sur la politique des banques centrales et sur le marché des entreprises car l’ensemble de ces paramètres influencent la gestion du FCPE.
 
Retrouvez le détail sur votre espace personnel du site de NATIXIS INTEREPARGNE, rubrique « les fonds », « synthèse des fonds proposés ».

LES INFORMATIONS PRATIQUES :
 
pensez au E-service, vous pourrez alors recevoir :
- des notifications de mise à disposition d’e-documents,
- des e-alertes sur le suivi de vos opérations,
- un mot de passe temporaire si vous avez oublié l'actuel,
Ce service vous est proposé lorsque vous vous connecter à votre espace personnel.
Pour valider votre abonnement n’oubliez pas de répondre au courriel de confirmation.
Vous avez un projet ; vous souhaitez obtenir le déblocage par anticipation de votre épargne, pensez à contacter les conseillers de NATIXIS INTEREPARGNE (02 31 07 74 00) avant de le concrétiser. Vous pourrez alors vérifier avec lui si celui-ci rentre dans les conditions de déblocage. Par exemple : pas possible pour une véranda.
 
Natixis Inter épargne propose d’ouvrir la possibilité de recevoir nos bulletins d’option (pour confirmer si nous bloquons ou demandons le versement) par MAIL.Décision à prendre par la direction.
François et José, favorables à l’ouverture de cette option, ont demandé au Conseil de Surveillance d’accueillir favorablement cette proposition et d’en informer la direction de la MAIF.
Si cette proposition est acceptée elle pourrait être mise en place dès 2013.
 
Il n’est plus possible de répondre au bulletin d’option par fax. 
 
Attention : si vous adressez par courrier votre bulletin d’option alors que vous avez déjà fait le nécessaire via votre espace personnel sur le site de Natixis Inter épargne, si les choix diffèrent, seuls ceux mentionnés sur le bulletin papier sont pris en compte.
 
Prochaine réunion du Conseil : le Jeudi 4 avril 2013.
François et José restent à votre disposition.

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Pour réagir, demander plus d'information, adhérer, remplissez le formulaire de contact



jeudi 22 novembre 2012

Election dans les TPE informez vos connaissances

Bonjour


unsa maif solidaire avec les tpe
Nous relayons un article paru sur le site http://tpe.unsa.org/


Quatre millions et demi ! Ils sont quatre millions et demi ces salariés, travaillant dans des entreprises de moins de onze employés, qui vont être appelés à voter entre le 28 novembre et le 12 décembre prochains. Choisir soi-même quel syndicat vous représentera pour négocier en votre nom, cela paraît élémentaire… Et pourtant, en France, pays de la démocratie, ce sera la première fois qu'en application de la loi du 20 août 2008, ces salariés des très petites entreprises (TPE moins de 20 salariés) auront enfin la possibilité de s’exprimer !
unsa maif solidaire avec les tpe
Naturellement, l’UNSA sera candidate dans ce scrutin où elle a déposé son sigle. Et d’abord pour porter un message simple : au-delà de la petite taille de leur entreprise, ces salariés doivent, tout simplement, être considérés et reconnus comme des salariés à part entière. Cela commence par le fait qu'ils soient pleinement informés sur leurs droits en matière sociale et de travail. Et plutôt que de prôner un principe sans l’appliquer elle-même, l’UNSA a mis à disposition des salariés des TPE un service téléphonique national d’information. Un syndicat qui informe ? Ca existe et c’est l’UNSA au 09 69 36 69 00... la suite sur:  http://tpe.unsa.org/

Si vous connaissez des personnes qui travaillent dans les TPE, n'hésitez pas à les informer de l'existence du site mentionné ci dessus, du numéro de téléphone dédié, et  bien sûr dites leur  de voter UNSA aux élections TPE .

dimanche 18 novembre 2012

Renégociation de l'accord Handicap MAIF, et économie de bout de ficelles…



" Notre exigence de solidarité nous incite à une politique inventive d’intégration au profit des personnes les plus fragilisées ou les moins reconnues dans la société. " (Extraits de l’Arbre de valeurs de la MAIF)




Rappelons que la Maif de par la législation doit tendre vers un taux de 6% d'employés reconnus handicapés 

 
Aujourd'hui la maif serait redevable de près de 550.000€ 

à l'AGEFIPH si elle n'avait pas d'accord handicap dans 

l'entreprise.  

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Le taux de travailleurs handicapés progresse dans l'entreprise, mais la proposition pour renégocier l’accord de 2009 se fait, à ce jour, à la baisse  concernant les moyens attribués au maintien dans l'emploi notamment!!!







En bref la direction des ressources humaines propose en début de négociation (la liste n'est pas exhaustive): 

Accord ActuelPropositions de la direction
Absence spécifique ( démarches de reconnaissance du statut de travailleur handicapé, absence médicale...)sans plafonnementLa limitation des jours d'absences spécifiques à 3 jours par an, décomptées en heures.
Aide financière en cas d'inaptitude professionnelle déclarée par le médecin du travail: 40.000€ pour contribuer dans la mesure du possible à sa reconversion professionnelle.20.000€ versé à un organisme externe de reconversion professionnel uniquement suite à maladie professionnelle et impossibilité de reclassement interne
Aide à l'appareillage ( auditif par exemple): 5000€ pour une période de 3 ans1500€ par appareil pour une période de 3 ans
Aménagement du véhicule personnel utilisé pour se rendre au travail, 10.000 € pour une période de 5ans, renouvelable5000€ pour une période de 3ans renouvelable, après avis du médecin du travail



Les paroles doivent garder du sens, sinon, les salariés, les militants et les sociétaires ne se reconnaitront bientôt plus dans les valeurs prônées par La Mutuelle!
 

clip_image004Le handicap doit rester un engagement sociétal et salarial et ne soit pas devenir une variable d'ajustement...











jeudi 15 novembre 2012

Avis du CHSCT sur le projet Maif de Déclaration Rénovée



campagne_adverbes_Page_1Bonjour,
Voici l’avis rendu par le CHSCT le 17/10/2012 sur le projet de déclaration rénovée.

Le 18 09 2012, le CHSCT a été informé préalablement à sa consultation de la nature du projet de Déclaration rénovée et du pilote visant à tester l’outil auprès d’utilisateurs de plusieurs sites de gestion. Cette évolution bureautique s’intègre dans le projet de système de rénovation progressif de l’ensemble du Système d’Information, afin d’obtenir des améliorations sur le patrimoine informatique et pouvoir accueillir plus facilement les évolutions d’offres.
Au-delà, l’outil est destiné à simplifier et réduire les applicatifs inhérents aux déclarations de sinistres. Aujourd’hui, le système exige des gestionnaires qu’il mémorise et « ouvrent » de nombreux applicatifs.
Si le système est destiné à lever ces difficultés et contraintes pour les gestionnaires en leur proposant un outil guidant et générique multi-produits, il doit les aider à être efficient dans leur travail, sans générer de nouvelles sources de stress et de tensions, du fait de nouvelles contraintes face auxquelles ils n’auraient pas suffisamment les moyens de faire face. Aussi, pour le CHSCT, le pilote doit avoir vocation à mettre en exergue l’ensemble des conséquences que l’outil peut avoir à partir de la réalité du travail, au regard de l’ensemble des tâches que le gestionnaire doit accomplir. Les avantages perçus par l’instance en terme de fonctionnalités, à l’issue de la présentation dynamique qui a lui a été faite, doivent être mis à l’épreuve du travail au quotidien.

Plus concrètement, le CHSCT fait part de ses préoccupations sur les points suivants :
- concernant les questions de l’évolution de la terminologie : les changements tenant aux « circonstances » ne doivent pas constituer une source d’incompréhensions, d’erreurs et de difficultés supplémentaires dans le travail voire de blocages,
- si le système paraît présenter des avantages en première approche, il est susceptible de générer, à ce stade important de la relation sociétaire, des pertes de repères et la nécessité d’en reconstruire de nouveaux rapidement ainsi que de nouveaux réflexes,
- si le système « entonnoir » paraît logique et adapté, il convient de s’assurer qu’il envisage toutes les situations afin de ne pas mettre le gestionnaire en incapacité de nourrir l’applicatif et aller jusqu’au bout de sa tâche.
Par conséquent, le pilote doit permettre d’identifier :
- les éventuelles difficultés d’ordre technique, inhérentes à l’outil,
- le temps d’appropriation et les charges de travail,
- les efforts et contraintes nouvelles afin d’adapter le cas échéant les modalités d’accompagnement envisagées, l’ergonome ayant de surcroît signalé que ce nouveau dispositif générerait pour le gestionnaire un travail cognitif important du fait notamment de devoir traduire au fur et à mesure le discours du sociétaire dans l’outil
- que l’outil ne dégrade pas davantage les conditions de travail des gestionnaires et ne créé pas de nouveaux facteurs de risques psychosociaux.

La rigueur dont il convient de faire preuve dans le suivi de ce pilote est d’autant plus importante que ce projet s’inscrit dans un contexte d’évolution importante du métier, davantage centré aujourd’hui sur la gestion et l’exécution d’une multitude de tâches en lien avec les outils. Soumis à ces contraintes, certains gestionnaires éprouvent le sentiment d’une perte de sens et d’utilité. Ce sentiment est particulièrement aigu pour ceux qui ont un vécu avec ce métier et qui ont des difficultés avec les outils. A cette perception génératrice d’un mal-être, s’ajoutent l’efficacité parfois très relative des outils et le sentiment d’un asservissement à ces outils. Les efforts d’adaptation et l’absence de répit dans les changements doivent absolument être pris en compte par la Direction pour exiger de ce pilote qu’il puisse produire tous les résultats attendus avant d’envisager un déploiement qui n’apporte pas un surcroît de difficultés et de mal être pour les gestionnaires.
Aussi sur la méthode mise en œuvre pour suivre ce pilote, le CHSCT tient à faire part de ses observations et préconisations :
- il est indispensable de s’assurer d’une écoute complète des gestionnaires impliqués dans le test, faciliter les remontées d’information dans toutes leurs dimensions pour faire émerger écueils et contraintes et procéder à leur analyse : à cet effet, les utilisateurs doivent pouvoir s’exprimer collectivement et chaque semaine en présence des tuteurs et des managers afin de permettre une écoute partagée et complète des éventuelles difficultés, des bonnes pratiques et d’objectiver les constats ; des moyens devront être accordées pour organiser ces temps d’échange qui devront donner lieu à la rédaction de bilans intermédiaires ou de retours d’expérience,
- il est également nécessaire d’organiser la présence sur site de l’ergonome, à des fins observations et d’entretiens avec les utilisateurs afin qu’elle puisse contribuer à l’analyse fine et approfondie de cette expérimentation et émettre si nécessaire les recommandations adaptées. L’instance a pris note de l’engagement pris par la Direction, postérieurement à la réunion d’information préalable à sa consultation, sur l’implication de l’ergonome sur le site de Bessines et sur un autre site en fonction de la nature des premiers retours, si possible secteur mixte.

Ces deux points sont pour l’instance des conditions de réussite du pilote en termes d’enseignements sur la santé des salariés et à terme du déploiement au niveau national : il est en effet essentiel que cette phase d’expérimentation s’appuie sur la contribution des utilisateurs et de l’ergonome, prolongeant ainsi les modalités de conduite du projet dans sa phase amont.
Ces précautions méthodologiques nous semblent être constitutives d’une véritable étude d’impacts des risques psychosociaux en amont du déploiement de tout nouveau projet d’envergure, dont le principe est annoncé par la Direction dans son plan d’action sur les risques psychosociaux.

Il réitère également à l’occasion de ce projet une demande qu’il a pu exprimer précédemment à savoir disposer de visibilité requise des projets et organisation à venir, tant il est vrai qu’un outil n’est qu’un élément qui participe à la construction d’un ensemble touchant à l’organisation du travail. Au regard du contexte SDO, l’instance attend que la Direction lui apporte dès à précisions quand à la prise en charge des déclarations des entités experts.

Le CHSCT demande qu’à l’issue du pilote la Direction présente l’analyse et les résultats probants qui en découlent avant la généralisation. Sous réserve que la préconisation ci-dessous concernant l’écoute des gestionnaires fasse l’objet d’une consigne d’expérimentation de la Direction à respecter par les managers, le CHSCT émet un avis favorable.

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