Affichage des articles dont le libellé est retraite. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est retraite. Afficher tous les articles

dimanche 15 décembre 2019

Grève le 17 décembre 2019

Si quelques mesures annoncées reprennent des propositions de l’UNSA (100 % des droits acquis, transition plus longue pour entrer dans le nouveau système), un trop grand flou, le manque de prospective et l’apparition d’une nouvelle mesure punitive sont en l’état inacceptables.

POUR VOUS, L'UNSA EXIGE :


  •  L’ouverture rapide de négociations concernant la pénibilité, pour l’ensemble des métiers. 
  • Des garanties sur les compensations pour les secteurs négativement impactés et les régimes spécifiques (RATP, SNCF, Enseignants, Territoriaux, Hospitaliers, Fonctionnaires sans primes…).
  • Le retrait de la mesure « âge pivot à 64 ans » car elle pénalise les salariés du privé et du public, dès 2022, en les faisant travailler au-delà de 62 ans, sous peine d’un malus.
  • Au minimum, une pension au Smic pour une carrière complète au Smic.


Ni puni·es, ni perdant·es : l’UNSA appelle l’ensemble des salariés à se mobiliser et à faire grève le 17 décembre

lundi 6 février 2017

Compte rendu - Réunion paritaire du 27 janvier 2017

1.  Ouverture des Négociations Annuelles Obligatoires incluant la rémunération des salariés
La Direction nous présente une étude sur la rémunération des salariés dans le domaine des assurances, mettant en avant le fait que la Maif se positionne toujours au-dessus de la moyenne.

Avant de rentrer en négociation, nous avons souhaité connaître la position de la Direction concernant 2 revendications que nous avons faites au cours de l'année 2016 :

  • La subvention supplémentaire aux œuvres sociales du CE afin de financer la mise en place des chèques vacances ;
  • Une mesure supplémentaire dans une perspective à long terme, en faveur des salariés qui ne seraient pas concernés par le dispositif de retraite progressive : la mise en place d’un système d’assurance retraite supplémentaire similaire à celui des cadres de Direction.
Sur ces deux points, le DRH nous avait répondu qu'il souhaitait que ces dispositifs soient négociés en NAO. Il n'a en effet pas accepté d'ouvrir le débat lors de la négociation sur la retraite progressive et a également refusé d'ouvrir une négociation sur la subvention supplémentaire aux œuvres sociales du CE.

Pour l'UNSA-MAIF, la revendication concernant la subvention aux œuvres sociales du CE n'a rien à faire en NAO car il ne s'agit pas d'un élément de rémunération des salariés.
Nous actons donc le refus de la Direction d'ouvrir une négociation spécifique à cette revendication.

L'UNSA-MAIF communiquera prochainement à la Direction ses revendications en terme de NAO, dont celle concernant un système d'assurance retraite supplémentaire.



Pas encore adhérent(e) ? Rejoignez-nous !

dimanche 2 octobre 2016

Réunion paritaire du 28 septembre 2016

Compte rendu réunion paritaire du 28 septembre 2016

Compte rendu non officiel

  1. Les contrats de génération et la retraite progressive

Les contrats de génération :
  • Nous rappelons que l’embauche des CDI temps plein pour les contrats génération est pour nous une priorité. Nous en profitons également pour demander que 20 % des alternants Maif soient embauchés sous la forme d'un contrat de professionnalisation en CDI.
  • Nous constatons que la décharge de travail des tuteurs n’est pas réelle partout, ce qui créé un découragement chez certains. C’est pourquoi nous souhaitons que les mesures de suivi de tutorat soient précisées sur l'accord afin qu’elles soient homogènes et respectées partout.
  • Nous souhaitons que l'entreprise reste à iso-effectif et qu'elle ne profite pas des départs à la retraite des années 2018/2019 pour ne pas remplacer les postes vacants. La Direction est prête à s'engager et inscrire ce point dans l'accord.
La retraite progressive :
À l’Unsa-Maif, nous ne souhaitons pas coupler l'accord sur la retraite progressive et les contrats de génération, contrairement à la Direction. Nous rappelons que le dispositif légal du système de retraite progressive ne s'applique qu'à partir de 60 ans. Par conséquent, si notre Direction souhaite le mixer avec le système actuel prévu pour les seniors (temps partiel à partir de 57 ans), l'Unsa-Maif souhaiterait qu'elle analyse notre proposition de créer une assurance supplémentaire retraite en complément des dispositifs existants qui pourrait permettre à nos collègues de financer en partie la perte de rémunération générée par la prise d'un temps partiel à 57 ans.

Nos autres revendications :
  • La prise en charge par l'entreprise de la décote sur le montant de la retraite complémentaire (10 % pendant trois ans maxi) en cas de départ avant 63 ans.
  • Le mécénat de compétence : offrir la possibilité aux salariés intéressés de travailler à l'extérieur pour le compte par exemple d'un organisme partenaire de la MAIF comme une association, tout en continuant à être rémunérés par la MAIF ; nous avions également fait la proposition dans le cadre des ateliers de travail OSER.
  • La prime de départ en retraite calculée sur la base d'un temps plein (aujourd'hui calculée sur la base du salaire mensuel moyen des 12 derniers mois, ce qui pénalise les salariés qui décident de travailler à mi-temps les toutes dernières années de leur carrière).
  • Les cadres au forfait jour sont exclus de la retraite progressive, on souhaite que soit précisé dans l'accord le fait qu’ils peuvent en bénéficier à partir du moment où l'avenant à leur contrat de travail est exprimé en heure et non plus en jours.
La Direction est d’accord sur ce dernier point. Par ailleurs, elle souhaite que les collègues puissent prévoir leur date de départ à la retraite mais ce dispositif n'est pas prévu légalement.
Cliquez ici pour comprendre les principes et conditions de la retraite progressive.
   2. Projet d'accord d'entreprise sur les CHSCT
La Direction nous a renvoyé un projet d’accord qui est sensiblement le même qu’exercé aujourd’hui, ce qui convient beaucoup plus aux OS que celui envoyé lors de la précédente réunion.

Nous rappelons nos précédentes revendications (voir ici) :
  • Le report des crédits d'heures : la direction prend l’observation et reviendra vers nous. Rien n’est encore tranché.
  • L’enveloppe horaire des déplacements des élus : pas d'évolution.
  • Prise de note par un prestataire lors des réunions : non.
Pour les transferts d'heures d'un élu cadre au forfait jour à un élu non-cadre, nous proposons d'établir un tableau de conversion des journées ou des demi-journées en heures afin de permettre ce transfert.

Par ailleurs, nous demandons à ce que les élus soient informés des sujets présentés en Instance de coordination pour qu'un débat en local puisse être possible. La direction ne l’exclut pas.
Le DRH précise qu'il va soumettre le projet d'accord au comité d’entreprise. Il acceptera l’accord à condition que l’avis du CE soit positif.
La dernière réunion aura lieu le 20 octobre pour poursuivre les négociations sur l'accord des contrats de génération et la retraite progressive et clôturer le débat sur l'accord des CHSCT.
Pas encore adhérent(e) ? Rejoignez-nous !

Les comptes rendus font ressortir les points principaux. N'hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez plus d'informations.


vendredi 21 août 2015

Et pendant ce temps la, à l'UNSA-MAIF...

Bonjour à toutes et tous, 
Les vacances d'été se terminent, vive les prochaines vacances.


L'UNSA-MAIF n'est pas resté sur le sable chaud cet été. Nous sommes restés à votre écoute, sommes allés sur de nombreux sites vous rencontrer et avons diffusé un questionnaire OTT qui a remporté un franc succès, nous vous en remercions! 

L'UNSA-MAIF a profité de cette trêve estivale pour rappeler à la Direction les demandes d'ouvertures de négociations que nous avions précédemment demandées :

- l’UNSA-MAIF demande à ce que la MAIF s’inscrive dans l’expérimentation sur le préfinancement des CESU par le CET.

- L'UNSA-MAIF  demande également l’ouverture de négociation pour la retraite progressive.

- l’UNSA MAIF demande l'ouverture de négociation sur le CPF (compte personnel de formation) et GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences). 

Nous avons également demandé une négociation sur notre sur-complémentaire car à partir du 01/01/2016 , le RPP évolue. Des garanties du RPP seront en doublon avec les garanties de MGEN-FILIA. Ce qui entraîne sans ouverture de négociations, des doublons  bien évidemment sans baisse des cotisations versées.
Il convient donc de revoir à la facturation de notre sur-complémentaire et à ses garanties.


A vos agendas : Le 4 septembre aura lieu la dernière réunion du groupe de travail en lien avec la direction sur la thématique de la charge de travail et des congés.
Nous vous ferons un compte rendu de cette réunion au plus tôt.
Pour réagir, nous interpeller sur un  sujet, une question... cliquez ici


lundi 9 janvier 2012

Annexe Dbis, le compte n'y est pas

09 Janvier 2012


HOLD-UP !

L’annexe D bis de la Convention d’Entreprise prévoit la possibilité pour les salariés âgés de 55 ans au moins la possibilité de partir en « préretraite » jusqu’à 60 ans.
Entre 10 et 15 salariés bénéficient chaque année de ce dispositif de préretraite
Les quelques salariés dont le conjoint ou un enfant sont gravement handicapés bénéficient en général des mêmes dispositions, par accord exclusif de notre PDG.


Les dernières modifications règlementaires relatives au report à 62 ans de l’âge de la retraite remettent en cause cet accord.
Elle exige la fin de cette politique nataliste, qui lui fait « penser à Pétain ».
Elle propose seulement de contractualiser la situation des salariés d’au moins 59 ans dont le conjoint ou un enfant sont handicapés à 80% au moins par un accident de la vie.


Mais le handicap grave d’un conjoint ou d’un enfant ne concerne heureusement que peu de salariés.

LE COMPTE N’Y EST PAS !

L’UNSA-MAIF pourrait accepter la remise en cause de l’accord de préretraite, mais exige une contrepartie réellement significative pour un montant du même ordre.

RAS LE BOL DES ECONOMIES SUR LE DOS DES SALARIES !

Nous acceptons bien évidement la mise en œuvre du dispositif proposé pour les quelques cas de handicap familial.

Mais nous souhaitons aussi que soit prise en compte la pénibilité générale de l’activité de chacun dans les dernières années de sa vie professionnelle.
Nous demandons que, dans le cadre du dispositif unilatéral au profit des seniors, soit ajouté l’engagement de l’entreprise de bonifier de 10 % la rémunération des salariés de plus de 55 ans qui demandent à bénéficier d’un aménagement de leur activité par un passage à temps partiel :
les salariés travaillant à 50% seraient payés à 60%
les salariés travaillant à 60% seraient payés à 70%
les salariés travaillant à 70% seraient payés à 80%
les salariés travaillant à 80% seraient payés à 90%

Dans ces conditions la pénibilité des dernières années de vie professionnelles serait atténuée par une durée d’activité hebdomadaire plus courte pour ceux des salariés qui le souhaitent, sans amputer excessivement leur revenu, et tout en restant dans des coûts acceptables pour l’entreprise.